Cela s’est passé lors d’une course cycliste au Brésil. Le cycliste Victor Fonseca, qui menait la course, a remarqué un petit chaton qui miaulait sur le bord de la route.
Le cri aigu du chat appelant à l’aide a fait ralentir le cycliste qui a dû s’arrêter.
L’athlète a pris le bé bé dans ses bras, l’a caressé et n’a rien trouvé de mieux que de le placer sous sa chemise, où le chaton s’est détendu, a ronronné et s’est tu, sur sa poitrine sous sa chemise, dans la chaleur et la sécurité.
Victor, jusqu’à la ligne d’arrivée, a conduit prudemment pour ne pas déranger le bé bé. Et il a dormi paisiblement.
Les concurrents se précipitent devant Victor, le dépassant, et le chaton, réveillé, s’installe et commence à lécher le corps salé de l’athlète. Il avait faim et soif.
Bien sûr, l’athlète a perdu la course, mais il a gagné des centaines de milliers d’admirateurs et de partisans sur les médias sociaux, où il a publié un compte rendu de cette course inhabituelle.
En quelques jours seulement, le cycliste a recueilli des dizaines de milliers de likes sur internet pour son acte de solidarité. Mais surtout, il a trouvé de nouveaux propriétaires pour la petite peluche rayée. Peu importe que cette fois Victor ait perdu la course.
Il est devenu un gagnant en termes d’attention et de gentillesse envers nos petits frères. Victor Fonsec est devenu pour tous les Brésiliens un exemple de sensibilité et de respect pour les animaux abandonés.
Le chaton a trouvé sa maman et ne sera plus jamais abandoné dans la rue, affamé et frigorifié, sans défense.
