Tout a commencé lorsqu’une équipe de camion-poubelle a entrepris de nettoyer les rues de la ville. Le manipulateur a soulevé réservoir après réservoir, les dégageant jusqu’à ce que le véhicule soit finalement presque plein. Puis, alors qu’il ne restait plus qu’un petit détour à faire, une chose terible est arrivée.
Au moment où les charognards vidaient l’une des dernières poubelles, ils ont cru entendre un grincement. C’est à ce moment-là que le contenu de la poubelle se déversait déjà dans le camion et il n’y avait aucun moyen de l’arrêter. Apparemment, un animal se trouvait dans le réservoir et n’avait pas réussi à s’échapper. Il avait été accidentellement chargé dans le véhicule avec le reste des ordures.
Les hommes auraient pu fermer les yeux et continuer leur route, à quelques heures de la fin du service, mais ils ont décidé de vérifier qui avait émis ce grincement fort et soudain.
Ils ont pris des pelles et, avec le soutien d’une autre équipe de leurs collègues, sont montés dans la voiture et, en une heure, ils ont pelleté une montagne de déchets. Et ainsi ils sont arrivés à celui qu’ils cherchaient.
Il s’est avéré qu’un petit chaton avait couiné. Étonnamment, il était encore vivant, même s’il était empilé avec des ordures. Le chaton n’était cependant pas indemne et avait un besoin urgent de soins médicaux. Les hommes se sont immédiatement rendus dans l’abri le plus proche.
Le chat a été soigneusement examiné, lavé et traité pour ses blessures, et il s’est avéré qu’il n’était pas sérieusement blesé. Le chat a prouvé qu’il n’avait pas peur des gens et qu’il était très affectueux et doux. Ce soir-là, l’un des vétérinaires qui a examiné le chat a décidé de le prendre dans sa famille – ce n’est pas tous les jours que des histoires de sauvetage aussi inhabituelles se produisent.
Quant aux charognards, 2 équipes étaient arrivées en fin de journée. Cependant, lorsque les travailleurs ont expliqué à leur patron la situation du chat enterré dans les ordures et lui ont parlé de la poursuite de l’opération de sauvetage, toutes les questions sont tombées.
Mais nous ne pouvons que nous réjouir pour le chaton qui a trouvé un foyer, et pour les personnes qui, grâce à leur vigilance et à leur dévouement, n’ont pas manqué cette cata strophe.