Plus de « mannequins »: secourir des animaux rares des séances de photos

Les gens ont toujours aimé les curiosités, même si elles sont vivantes. Seule une poignée de personnes pensent que le sort des animaux exotiques qui posent à côté d’elles pour des photos est loin d’être enviable.

La capitale s’est engagée depuis longtemps dans le sau vetage d’oiseaux rares et exotiques, des animaux qui so nt détenus pour le plaisir ou pour le profit.

La vie professionnelle

Nombreux sont ceux qui ont vu des jeunes gens prêts à participer à la réalisation d’une photo avec des oiseaux de proie moyennant une certaine rémunération. Le plus souvent, ils élèvent et utilisent des chouettes pour leur travail.

Les espèces les plus courantes so nt celles qui ont é té vendues illégalement. Il n’y a que des cas isolés d’oiseaux achetés dans des pépinières. Même pour eux, travailler dans les rues animées, même en journée, est stre ssant.

Les employés du département des ressources naturelles et de la protection de l’environnement doivent littéralement secourir les pauvres oiseaux. Comme ils ne peuvent pas arrêter les criminels, ils travaillent en tandem avec la police.

Peu d’entre eux possèdent des certificats CITES pour les animaux qui ont é té importés. Si les animaux ont é té élevés en captivité, ils ont également besoin de documents. Mais ce n’est pas l’essentiel non plus…

La plupart de ces « modèles » se révèlent êt re dans un état émacié, ont contracté toute une série de ma ladies, so nt nourris et gardés de manière incorrecte. Personne n’a annulé la responsabilité administrative pour cruauté envers les animaux.

Le propriétaire devra payer une amende, et l’animal se ra envoyé dans un centre de réhabilitation. Là, les pauvres créatures seront traitées, engra issées et recevront les soins dont elles ont besoin. Puis un nouveau foyer décent leur sera trouvé.

Il n’est pas illégal de filmer des chouettes dans des lieux publics, mais il e st strictement interdit de mettre les animaux et les oiseaux en dan ger.

L’expérience a montré qu’aucun des oiseaux admis dans le centre de réhabilitation n’était dans un état satisfaisant. Les chouettes vivaient dans des cages étroites, perdaient leurs plumes de la queue, beaucoup d’entre elles avaient les ailes cassées.

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